En parallèle j'ai guidé (et doublé) les recherches d'autres personnes qui m'ont sollicitées. J'ai pu participer à des relevés collaboratifs aussi. Cela consiste à lire des documents sources et à enregistrer toutes les informations qu'ils renferment concernant des individus, et à partager cet enregistrement. D'une manière générale, je publie toutes mes trouvailles, qu'elles concernent mon arbre généalogique ou non. C'est une façon de partager mes recherches afin d'aider un autre généalogiste qui suivrait les mêmes pistes.
J'ai aussi reconstitué la généalogie sur 3 ou 4 générations d'individus (tous ou certains d'entre eux) trouvés sur les monuments aux morts de communes habitées par mes ancêtres. J'ai participé à des arbres collaboratifs (les passagers du Titanic, les victimes du massacre d'Oradour-sur-Glane) et j'en ai encore un en cours ; j'essaie d'avancer encore sur mon propre arbre, mais pas trop sur celui de mon mari puisque notre aînée aimerait bien le faire... oups ! il faut que je lui en laisse un peu !
Bref, j'ai goûté tôt au sel de la généalogie et je pense que ça m'occupera encore un moment, mais je ne m'en plains pas ! D'ailleurs, la longévité a du bon, puisque de nouvelles sources sont devenues accessibles depuis que j'ai commencé. Il m'arrive même de découvrir un document plus récent, ou un autre plus précis. Et je m'en régale !
Oui, j'ai mis le doigt dans l'engrenage ! Mais tel Charlie Chaplin dans Les Temps Modernes, je garde le sourire !
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